mercredi 8 avril 2009
Gouvernance chez Cascades
Le conseil d'administration de Cascades est composé de 4 comités dont celui de l'environnement, de la santé et de la sécurité. Le mandat de ce comité consiste notamment à réviser de façon régulière la performance de la compagnie par rapport à l'environnement. Le travail du comité de l'environnement, de la santé et de la sécurité en matière de vérification est nécessaire pour veiller à ce que les opérations de Cascades soient exécutées selon les normes de l'industrie, ainsi que selon les standards imposés par les lois et les règlements en vigueur sur la qualité de l'environnement.
Chaque trimestre, le conseil d'administration reçoit 2 rapports provenant de chaque usine. L'un consiste en une divulgation d'informations non financières liées à l'environnement. Dans cette divulgation, il y a des informations se rapportant, entre autres, aux événements qui ont entraînés les impacts environnementaux. La date, la cause ainsi que les mesures correctives pour enrayer le problème lié à l'environnement sont expliqués dans cette divulgation. L'autre rapport transmis au conseil d'administration concerne les éléments financiers liés à l'environnement. Il consiste en un rapport de performance environnementale. Les coûts engagés pour respecter l'environnement, ainsi que les économies de coûts possibles en respectant les objectifs font parti de ce rapport.
Ainsi, la stratégie environnementale de Cascades a des répercussions également sur les décisions et activités de son conseil d’administration.
Chaque trimestre, le conseil d'administration reçoit 2 rapports provenant de chaque usine. L'un consiste en une divulgation d'informations non financières liées à l'environnement. Dans cette divulgation, il y a des informations se rapportant, entre autres, aux événements qui ont entraînés les impacts environnementaux. La date, la cause ainsi que les mesures correctives pour enrayer le problème lié à l'environnement sont expliqués dans cette divulgation. L'autre rapport transmis au conseil d'administration concerne les éléments financiers liés à l'environnement. Il consiste en un rapport de performance environnementale. Les coûts engagés pour respecter l'environnement, ainsi que les économies de coûts possibles en respectant les objectifs font parti de ce rapport.
Ainsi, la stratégie environnementale de Cascades a des répercussions également sur les décisions et activités de son conseil d’administration.
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Bloc 2 : Sébastien Gagné
RépondreSupprimerDans ce billet, les auteurs parlent de la gouvernance et des différents comités présents dans l'entreprise afin d'atteindre un certain niveau de performance environnementale. On parle entre autres d'un comité de l'environnement, de la santé et de la sécurité. Tout comme Cascades , une équipe professionnelle doit avoir un certain nombre de comités pour avoir une meilleure gouvernance. Si on prend l'exemple du Canadien traité dans notre blogue, on retrouve un comité de haute-direction hockey qui prend les grandes décisions concernant la stratégie de l'équipe ( Qui se rapproche d'un CA) , un groupe de gens qui travaillent avec le club école du Canadiens qui doit rendre des comptes à la direction tout comme le font les usines de Cascades avec le comité de direction. Il y a également un goupe plus près des joueurs, soit le groupe d'entraîneurs qui doivent s'assurer d'une performance quotidienne de son groupe.( Celui doit également rendre des comptes régulièrement à la haute direction)
Donc pour conclure ma réflection, je dirais que cascades et le Canadiens se doivent de bien stucturer leur gouvernance afin de s'assurer d'une reddition de comptes efficaces et la rencontre des objectifs de performance fixés.
Bloc 2 Kamal Racine
RépondreSupprimerBonjour à vous, le Protocole de Kyoto est un enjeu majeur de nos jours. Il transcende le volet environnemental en provoquant des passions sociales et des débats enflammés; notre sujet, le sport et le monde financier peut se targuer de baigner dans le même environnement. Intensité, partisannerie et argent sont au cœur de notre sujet.
À priori, on pourrait croire que ces deux sphères sont totalement exclusives, par contre, de nombreuses similitudes existent entre les deux.
Premièrement, ce sont des domaines difficiles à quantifier et leur structure de coûts est souvent atypique, l’environnement, de par son approche abstraite et les équipes de sport professionnels, de par leurs éclatement des revenus et leurs influence sociales complique le volet financier.
Nonobstant la complexité à monnayer ces deux domaines, on y retrouve tout de même de nombreux indicateurs de performances communs afin d’instaurer des contrôles et des processus de rétroaction valable. Le tableau de bord équilibré semble avoir la cote peut importe le domaine et c’est un outil qui fait «figure de proue» tant au niveau environnemental que sportif.
Au niveau pratique, de nombreuses équipes de la NFL ont comme projet d’être «Carbon Zero» d’ici 2013. Cette norme implique l’achat de crédits de carbone afin de pallier aux émissions quantifiées et engendrées par l’équipe et ses déplacements.
Il est donc encourageant de constater les préoccupations environnementales dans le sport professionnel. C’est désormais une chance de se distinguer au point de vue social et une chance d’améliorer «l’image de marque».
Le défi, tant au point vue environnemental que sportif est la difficulté à quantifier les décisions prisent par les équipes et les entreprises qui désirent effectuer le virage vert afin de ses plier aux exigences de Kyoto ou autres normes environnementales. Combien en retirons-nous, quels sont les coûts/bénéfices? Dans les deux cas, ces enjeux sont plus difficiles à quantifier et c’est pour ces raisons que l’utilisation d’indicateurs de performance est essentielle.
Finalement, les considérations environnementales s’étendent désormais à toutes les sphères et le domaine sportif n’est pas épargné, on peut s’attendre à de nombreux avancés dans les prochaines années!
À quand les Canadiens «Carbon Zero» de Montreal?
D’une part, nous pouvons faire un lien évident entre ce blog et le développement durable « DD ». On dit souvent que le DD est un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures. En effet, l’application des mesures incluent dans le protocole de Kyoto est une première approche vers cette objectif. Néanmoins est-il réellement suffisant de stabiliser nos rejets en GES ? En faisant le test Capsule Verte je me suis aperçu qu’il faudrait prêt de 2,69 planètes pour satisfaire mes besoins si tout le monde consommaient comme moi. Or, je suis quelqu’un qui trie ses déchets et qui fait attention à sa consommation d’eau et d’énergie.
RépondreSupprimerJe vous propose de lire le lien suivant :
http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/04/17/aux-etats-unis-le-co2-est-reconnu-dangereux-pour-la-sante-publique_1182247_3244.html
Je pense qu’il s’agit d’une première étape qui pourrait nous amener à penser que les Etats-Unis vont enfin prendre part à l’effort mondiale de réduction des GES. Signeront-ils le protocole de Kyoto numéro 2 en fin d’année je vous laisse suivre l’actualité pour le savoir…
D’autres parts, il est possible de faire un rapprochement entre ce blog et la gouvernance d’entreprise. Le cas Cascade illustre à merveille cela. En effet, l’équipe dirigeante d’une entreprise peut actuellement manager une entreprise rentable tout en respectant l’environnement et même être précurseur et montrer l’exemple. Cascade fait partie des 100 entreprises verte au Canada. L’image écologique de la compagnie est sans aucun doute bénéfique. Je pense que des exemples tel que celui-ci vont permettre de changer les mentalités pour qu’enfin les actionnaires ne s’intéresse plus uniquement au profit à court terme. Les membres du conseil d’administration sont aussi là pour prendre des décisions stratégiques qui pourront faire que l’entreprise soit viable sur le long terme. Or la prise en compte des coûts environnementaux est une première approche, la seconde sera de réparer cet impact toujours dans une optique de croissance sur le long terme.
Benoit SCHAMBOURG blog 4 équipe 9
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerSuite à votre billet, j'ai le sentiment que la mise en place de division spécifique du conseil d'administration tel que le comité de l'environnement, de la santé et de la sécurité de Cascades va devenir de plus en plus indispensable. Par ailleurs je pense que la mise en valeur de cette compétence particulière au sein du système de gouvernance est une solution très pertinente pour mettre en évidence ce défi majeur pour l'entreprise qui est la préservation de son environnement.
Tout d'abord, suite à la perte importante de la confiance des investisseurs du fait des récents scandales financiers, la mise en place d'un conseil d'administration irréprochable sur le plan du respect de l'éthique, dont la problématique de développement durable fait partie intégrante, est absolument nécessaire.
Le conseil d'administration doit également veiller à respecter les lois et réglementations en vigueur qui sont de plus en plus nombreuses dans ce domaine.
Le conseil d'administration doit donc par sa participation à l'élaboration et à la validation de la stratégie de l'entreprise veiller à ce que les contraintes et risques environnementaux soit bien pris en compte.
Ronan AUDO.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerBloc 5 : Yoann Dutemple
RépondreSupprimerAujourd'hui, les Etats-Unis comptent 1/4 de l'émission de gaz à effet de serre dans le monde. En dépit des politiques volontaires de changement de climat, les émissions augmentent encore de 1,5% chaque année. Néanmoins, en 2001 les Etats-Unis, avec d'autres pays, ont décidé de se retiré du protocole de Kyoto pour la réduction de l'émission de gaz à effet de serre. La raison donnée pour expliquer ce retrait, était que certain pays en développement n'étaient pas impliqué dans le protocole. Il a été dit que les émissions de gaz à effet de serre dans les pays en développement augmenteront dans les prochaines décennies. Selon certaines critiques plus de la moitié des émissions de gaz à effet de serre proviendront des pays en développement vers 2025.
Tout l’enjeu, de ses considérations sont à mon sens de savoir si les Etats-Unis ratifieront ou non le protocole. Les changements politiques récents peuvent nous apporter des pistes de réflexion. En effet, l’arrivé récente de Barack Obama à la maison blanche, laisse présager, de part les propos tenus par le nouveau président, d'une intégration de la première puissance mondiale dans le protocole, dans un avenir relativement proche.
Les récentes actualités sur la fonte des glaces et le détachement d’une partie de la banquise, devrait accélérer la mise en place de ses processus, avec une réduction des quotas. Aujourd’hui, nous savons que le prix d’une tonne de CO², est modique et n’incite pas les entreprises à réduire leurs émissions, car c’est bien par en activant les leviers financiers que les entreprises changeront leur mode de production. A ce sujet, il est possible de réaliser une analogie avec le système aérien et l’intégration des coûts de la pollution comme présenté dans le blog Green Flight.
D’un avis personnel, je pense que l’intégration des coûts de l’émission de gaz à effet de serre, doit être prit en compte dès aujourd’hui par les entreprises, car répondre maintenant aux enjeux de demain, leur permettra de se focaliser dans le futur sur des préoccupations totalement différentes. De plus, la responsabilisation des consommateurs mais aussi des citoyens que nous sommes, est prise en compte par les entreprises, c’est que l’on appel plus communément la responsabilité sociétale, qui véhicule l’image de l’entreprise auprès des consommateurs, mais aussi pour les candidats à l’embauche, une entreprise excellant dans se domaine pourra recruter plus facilement des talents.
Donc à mon sens oui, le protocole de Kyoto et plus largement la taxation des entreprises non respectueuses de l’environnement, se développeront dans les années à venir.